Apprendre à lire en s’amusant
1) Pédagogie, analyse de la langue et neurosciences…
La démarche utilisée est innovante bien que la méthode d’apprentissage elle-même soit simplement syllabique dans son expression première. On part des lettres (ce sont les parties) pour aller vers des proto-syllabes puis de vraies syllabes et des mots (c’est le TOUT). La pédagogie est active, l’enfant participe à son apprentissage.
Cette méthode s’appuie d’abord, et avant tout, sur une analyse scientifique de la langue (ce qui n’a jamais été fait jusqu’à présent). Cette méthode apprend à lire et à écrire (orthographier) en même temps. L’un ne pouvant aller sans l’autre.
Cette méthode est basée essentiellement sur les travaux de Nina Catach (Directrice de Recherches au CNRS, linguiste et historienne de la langue) : Les lettres ou les groupes de lettres représentent pour 80 % du SON et seulement pour 20 % DU SENS. C’est une analyse de la langue accessible aux enfants qui comprennent enfin que le ENT, ent de vent (SON) n’est pas le même que celui de (ils) marchent (SENS). La notion de fréquence des mots, utile à l’apprentissage, est mise en valeur. Rappel : 70-90 mots représentent plus de 50 % des apparitions dans tous les textes scientifiques ou littéraires et 500 mots suffisent pour apprendre à déchiffrer.
Cette méthode s’appuie aussi sur les neurosciences et, particulièrement, sur les travaux de Stanislas Dehaene (psychologue cognitiviste et neuroscientifique français, professeur au Collège de France à la chaire de psychologie cognitive expérimentale) sur le fonctionnement du cerveau dans l’apprentissage notamment de la lecture. Certaines applications en sont directement issues.
Dans le cadre des recherches en neurosciences, cette méthode préconise l’apprentissage précoce (vers cinq ans). C’est tout à fait nouveau et conforme aux dernières études scientifiques sur le sujet.
2) Un enseignement complémentaire…
Oklear est un outil complémentaire à l’enseignement scolaire obligatoire, destiné à être utilisé en milieu scolaire comme en milieu extra-scolaire.
L’impact primordial d’OKLEAR est d’aider des enfants de 5-9 ans déconcertés par les méthodes d’apprentissage globales et qui peine à démarrer. L’impact secondaire étant d’offrir aux parents, parfois un peu dépassé par cet apprentissage, des outils simples et solides pour aider leur enfant.
3) Apprentissage ludique se traduisant par des scores et des gains motivant l’apprenant (on pourrait dire « gamifié » pour les joueurs impénitents)…
Cet apprentissage est mesuré et contrôlé (on pourrait dire « monitoré » pour les informaticiens) tout au long du jeu grâce aux scores acquis en suivant une courbe de progression précise. Cette courbe de progression est construite à partir de nos méthodes pédagogiques basées sur la linguistique et, pour certains jeux, sur les neurosciences.
Grâce aux traces visibles des scores, l’enfant se voit progresser au fur et à mesure du jeu et peut obtenir soient des points, soient des cartes supplémentaires… voire même l’ouverture d’une autre application !
Les résultats sont donc visibles et accessibles pour l’enfant comme pour les parents. Les éducateurs, les professeurs ou les moniteurs ont ainsi connaissance des réussites comme des faiblesses de l’usager dont ils sont responsables.
3 Bis) Avec quel moyens…
Tablettes et TNI (Tableaux Numériques Interactifs). Et numérique en général…
4) Impact social…
Savoir lire, écrire et parler le français conditionnent l’accès à tous les domaines du savoir. Cela permet surtout l’acquisition de nouvelles compétences comme cela profite à l’enrichissement culturel… donc à l’épanouissement individuel.
La langue française est l’outil premier de l’égalité des chances pour tous, de la liberté du citoyen et de l’accession aux autres (donc de la civilité dans le rapport qu’elle a justement aux autres !). La langue française, lorsqu’elle est acquise, permet de communiquer de façon égalitaire à l’oral comme à l’écrit avec tous et dans toutes les situations de la vie. Cette langue permet, bien sur, d’exprimer ses sentiments de mettre sur ceux-ci des mots qui les traduisent… d’éviter cette violence qui nous étreint lorsque l’on ne peut pas s’exprimer… de comprendre aussi et d’affirmer ses droits comme ses devoirs. En bref d’être « partie prenante » d’une société française en pleine mutation.
5) Pour quel public ?
Les particuliers : c’est-à-dire les enfants et leurs parents qui souhaitent apprendre à lire de façon différente et ludique ;
Les organisations privées : associations, centres culturels, centres de loisirs, ludothèques, médiathèques qui pourront rendre disponible l’application à leur usagers ;
Les organisations publiques et institutionnelles comme les écoles primaire, les collèges, l’Education Nationale dans son ensemble par le biais des TNI (Tableaux Numériques Interactifs) qui vont être assez rapidement présents dans toutes les classes avec les tablettes.
6) La richesse des contenus…
OKLEAR ne s’arrête pas à une seule application d’aide à la lecture. Bien d’autres applications vont suivre… Et, tout d’abord, une appli complémentaire de la première sur le CODE phonético graphique (les lettres de l’alphabet et leurs liaisons avec les sons les plus fréquents). Mais aussi des applications d’aide à l’écriture car l’apprentissage de la lecture et de l’écriture sont étroitement liées… des applications en orthographe… en conjugaisons… des jeux de langue divers et variés.
Mais surtout des applications et des jeux « cognitifs » (basés sur les neurosciences) verront rapidement le jour…
Des jeux pratiques seront aussi édités avec leur Mode d’Emploi :
Par exemple :
Comment différencier le p, du b, du q ou du d en minuscule qui sont confondus très longtemps par les apprentis lecteurs ; comment écrire un mot en Maternelle avec des cartes aimantées ; comment reconnaître une lettre déformée ; etc.
OKLEAR, rapidement, sera très riche de solutions pratiques pour les parents et pour les enfants.